Bab L’ Bluz se réapproprie le blues pour l’Afrique du Nord. Sous la direction d’une femme marocaine, un rôle traditionnellement masculin, le groupe s’engage dans une révolution des attitudes qui s’inscrit dans le mouvement de la jeunesse marocaine “nayda” – une nouvelle vague d’artistes et de musiciens puisant leur inspiration dans l’héritage local et chantant des paroles de liberté en dialecte marocain-arabe darija.
Ancienne et contemporaine, funky et rythmée, portée par des textes arabes, des voix envoûtantes et des grooves profonds de basses, Nayda ! semble pulser depuis le cœur du Maghreb